BELLE ET SÉBASTIEN
Un film de Nicolas Vanier
Du même réalisateur : Loup
À partir de 7 ans

GÉNÉRIQUE : France. 2013. 98 min (V.O.F.). Drame réalisé par Nicolas Vanier. Scén. : Nicolas Vanier, Juliette Sales et Fabien Suarez, d’après l’œuvre de Cécile Aubry. Mus. : Armand Amar. Int. : Félix Bossuet, Tchéky Karyo, Margaux Chatelier.

SYNOPSIS : Au départ, ce fut une série télé marquante des années 60 en France, renouvelée en dessins animés durant les années 80. Aujourd’hui, l’histoire d’amitié entre Sébastien, un jeune garçon téméraire, et une chienne prénommée Belle se poursuit à travers la vie au quotidien dans un village alpin dont la sérénité sera bouleversée par l’arrivée des Allemands lors de la Seconde Guerre mondiale.

NOTES : Qui de mieux placé que Nicolas Vanier, cinéaste habitué aux tournages nécessitant des animaux et capable de filmer les grands espaces enneigés avec brio, pour adapter à nouveau cette histoire d’amitié? Les images, d’une grande beauté, n’ont d’égal dans le film que le fort lien rattachant le garçon à son chien. Conçu comme un divertissement familial aussi drôle qu’émouvant, BELLE ET SÉBASTIEN nous replonge agréablement dans le monde de l’enfance. (P.B.)

BIG BUCK BUNNY
Un film de Sacha Goedegebure
Court métrage
Pays : Pays-Bas
Année : 2008
Durée : 10 min

SYNOPSIS : C’est l’histoire d’un lapin géant qui cherche à se venger de trois rongeurs malfaisants. Tout débuta par une noisette et deux et trois, mais lorsque ces trois petits voyous s’attaquent aux papillons, c’en est trop... le gentil lapin part en guerre!

Le 1er mars avant le film Belle et Sébastien 16 h 20
Le 3 mars avant le film Belle et Sébastien 16 h 20

PRÉSENTÉ DANS LE CADRE DU PROGRAMME
COURTS MÉTRAGE LE 5 MARS 19 H

BACH ET BOTTINE
Un film de Rock Demers
À partir de 7 ans

GÉNÉRIQUE : Québec. 1986. 96 min (V.O.F.). Film de Rock Demers réalisé par André Melançon. Scén. : Jean Beaudry et André Melançon. Produit par Les Productions La Fête Inc. Int. : Mahée Paiement, Raymond Legault.

SYNOPSIS : BACH ET BOTTINE raconte l’histoire d’une orpheline de onze ans, Fanny, une enfant étonnante et douée d’un prodigieux sens de la vie. De son passé, il ne lui reste que sa seule amie Bottine, une mouffette apprivoisée. Un jour, elle devra aller habiter chez son oncle. Elle sème alors le désordre dans l’existence bien ordonnée de cet oncle comptable, un vieux garçon au cœur tendre dont l’unique passion est la musique de Bach.

LE COQ DE ST-VICTOR
Un film de Pierre Greco
Du même réalisateur : Un petit vent de panique
À partir de 5 ans

GÉNÉRIQUE : Québec. 2014. 80 min (V.O.F.). Film d’animation réalisé par Pierre Greco. Scén. : Pierre Greco et Johanne Mercier. Mus. orig. : Olivier Auriol. Voix : Gaston Lepage, Anne Dorval, Guy Jodoin.

SYNOPSIS : Le maire de St-Victor n’est pas peu fier de son village qui, selon lui, doit sa prospérité à son coq qui se charge d’éveiller les résidents, beau temps mauvais temps, chaque matin, dès 4 h. Cette situation en lasse cependant plus d’un et la tête du coq sera mise à prix, faisant fuir le volatile et semant la zizanie dans le village.

NOTES : Après La Légende de Sarila, voici le nouveau film d’animation concocté par les artisans de Productions 10e ave, cette fois-ci adapté du roman jeunesse de Johanne Mercier. LE COQ DE ST-VICTOR a été tourné en 2D et en 3D avec, entre autres, l’aide des spécialistes en animation de Frima FX à Québec. Cette œuvre hautement familiale s’inspire visuellement aussi bien de l’aspect historique de Place-Royale que des décors bucoliques de la région de Charlevoix. En résulte une histoire de chant du coq des plus colorées et 100 % québécoise. (P.B.)

COMBUSTION
Un film de Renaud Hallée
Court métrage
Pays : Canada
Année : 2011
Durée : 4 min

SYNOPSIS : COMBUSTION plonge le spectateur, d’image en image, d’une note à l’autre, de plus en plus près des matériaux qui s’embrasent jusqu’à l’explosion des couleurs et des sons! Conduit par une trame musicale ardente, COMBUSTION est un regard vif et neuf sur le feu qui, depuis toujours, nous fascine tous.

Le 3 mars avant le film Mon tonton ce tatoueur tatoué 14 h 45
Le 7 mars avant le film Mon tonton ce tatoueur tatoué 10 h

PRÉSENTÉ DANS LE CADRE DU PROGRAMME
COURTS MÉTRAGE LE 5 MARS 19 H

GÉNÉRIQUE : Canada. 2012. 72 min (V.O. espagnole avec sous-titres français). Film réalisé, scénarisé et dirigé par Pablo Diconca. Image : Nicolas Canniccioni. Mus. : Alejandra Odgers, Alejandro Pinnejas, Alephsus Valdes. Int. : Léon Diconca Pelletier, Pablo Diconca.

SYNOPSIS : Le temps d’une fin de semaine, au cœur même d’une nature sauvage mais invitante, un père divorcé et son fils se retrouvent pour partager l’intensité et l’immensité de tendres moments épisodiques. Au terme de ces jours de tendresse, de bonheur soutenu, se manifeste le vide cruel de la séparation et de l’absence de l’autre, et qui viendra les surprendre sous forme d’un événement dramatique et inattendu. L’amour qui les unit est de nouveau confronté aux contingences douloureuses de la vie contemporaine.

NOTES : On retrouve dans cette œuvre fictive l’harmonie de la chorégraphie, dans la façon de mettre les corps et les objets dans l’espace. Deux jours et demi est une œuvre personnelle qui peut toucher chacun de nous. En réalité, chaque scène a été répétée et chaque mot choisi avec le plus grand soin. Pablo Diconca nous transporte dans l’univers qu’il partage au quotidien avec son fils Léon.

1.0 YOU ARE (NOT) ALONE
Année : 2007
Durée : 98 min

2.0 YOU CAN(NOT) ADVANCE
Année : 2009
Durée : 112 min

3.0 YOU CAN(NOT) REDO
Année : 2012
Durée : 96 min

Japon
Langue : V.O. japonaise avec S.-T.F.
À partir de 13 ans

SYNOPSIS : La chute d’un astéroïde en Antarctique a entraîné la dévastation d’une grande partie de la Terre. Les cataclysmes et la fonte des glaces ont anéanti la moitié de la population. Quinze ans plus tard, de mystérieux anges destructeurs à l’origine de l’apocalypse font leur apparition. Mais ils devront faire face aux Evangelions, des robots géants pilotés par des adolescents dont Shinji Ikari, qui aura un rôle majeur à jouer dans cette guerre pour sauver l’humanité.

NOTES : Aussi connue sous le nom de Neon Genesis Evangelion, EVANGELION est une série de dessins animés japonais des années 90 prenant la forme, dix ans plus tard, d’une série de films dont voici les trois premiers volets. S’inspirant grandement des thèmes abordés dans la Genèse, EVANGELION profite d’un réel culte au pays du Soleil-Levant. Aussi connu par ses nombreux mangas, l’univers d’EVANGELION est devenu un véritable phénomène pour les amateurs du genre en Occident. (P.B.)

FOXED!
Un film de James E. D. Stewart et Nev Bezaire
Court métrage
Pays : Canada
Année : 2013
Durée : 5 min

SYNOPSIS : Soyez étonnés par cette menace qui rôde sous vos yeux. Le sinistre monde de FOXED! révèle une jeune Émilie qui travaille dans les mines sous sa maison, emprisonnée par des renards qui ont convaincu toute la ville que les enfants pouvaient être remplacés.

Le 4 mars avant le film Secondaire V 16 h 15
Le 6 mars avant le film Secondaire V 16 h 20

PRÉSENTÉ DANS LE CADRE DU PROGRAMME
COURTS MÉTRAGE LE 5 MARS 19 H

GÉNÉRIQUE : Brésil. 2013. 80 min (Muet). Film d’animation écrit et réalisé par Alê Abreu. Mus. : Gustavo Kurlat, Ruben Feffer.

SYNOPSIS : Vivant à la campagne, Cuca est un petit garçon fasciné par tout ce qui l’entoure. Son quotidien paisible et réconfortant est perturbé le jour où son père part pour la grande ville. Souffrant Wde cette absence, il décide de partir à sa recherche et d’ainsi découvrir un monde qui lui est totalement inconnu. Mais c’est sans se douter qu’il aura à faire face à des animaux-machines et autres étrangetés urbaines.

NOTES : Avec ce nouveau film, le cinéaste Alê Abreu réussit à illustrer, à travers les yeux d’un enfant, autant les sentiments d’émerveillement que de terreur. En opposant la tranquillité de la campagne à la démesure de la ville, il apporte une réflexion sur nos modes de vie. Fable originale aux dessins en apparence minimalistes, LE GARÇON ET LE MONDE est une œuvre d’art aux couleurs chatoyantes extrêmement touchante. (P.B.)

GÉNÉRIQUE : France. 2013. 75 min (V.O.F.). Film d’animation réalisé par Marc Boréal et Thibaut Chatel. Scén. : Jean Regnaud et Stéphane Bermasconi, d’après l’œuvre de Jean Regnaud et Émile Bravo. Mus. : Fabrice Aboulker. Voix : Marc Lavoine, Julie Depardieu, Tom Trouffier.

SYNOPSIS : Dans les années 70, Jean, six ans, voit sa rentrée scolaire bouleversée par son incapacité à décrire le métier de sa mère. Celle-ci est toujours en voyage et ne communique avec lui que par l’envoi de cartes postales qui l’amènent à s’imaginer les aventures qu’elle peut vivre à l’étranger. Sauf qu’au fil des semaines, Jean commence à mieux comprendre la réalité.

NOTES : Ce dessin animé aux couleurs d’époque est l’adaptation d’un roman graphique illustré par Émile Bravo en 2007 et inspiré par la jeunesse de son auteur, Jean Regnaud. Le film, bercé par l’insouciance de l’enfance, relate la perte de naïveté du personnage principal dont l’imagination est aussi des plus fertiles. Autant la vie familiale que la vie scolaire et la différence des classes sont abordées à travers ce prisme des années 70. (P.B.)

MON TONTON, CE TATOUEUR TATOUÉ
Un film de Karla Von Bengston
À partir de 8 ans

GÉNÉRIQUE : Danemark. 2012. 42 min (V.F. de Tigre og tatoveringer). Film d’animation écrit et réalisé par Karla Von Bengston. Int. : Lars Bom, Anna Sander Bie, Jesper Christensen, Bjarne Henriksen.

SYNOPSIS : Maj, petite fille au caractère vif, vit avec son oncle tatoueur Sonny, un homme imposant au cœur tendre. Bien que leur relation soit agréable, Sonny assume très mal son rôle de père précaire et juge que Maj aurait avantage à grandir dans une vraie famille, comme celle que l’on peut voir à la télévision. Ensemble, ils vivront une série de péripéties qui leur apprendront le véritable sens de ce qu’est une famille.

NOTES : Avec MON TONTON, CE TATOUEUR TATOUÉ, Karla Von Bengston propose une réflexion nécessaire sur la famille d’aujourd’hui avec des personnages attachants loin du stéréotype de la famille nucléaire. Prônant la diversité, ce petit bijou d’animation aux couleurs éclatées et à l’imagination débridée porte un beau message de tolérance tant pour les petits que pour les grands, car, nous le savons tous, les petits imitent les grands. (P.L.)

GÉNÉRIQUE : France. 2013. 80 min (V.O.F.). Film d’animation écrit et réalisé par Olivier Jean-Marie. Mus. : Vincent Artaud.

SYNOPSIS : Oggy, c’est un chat bleu toujours embêté par trois cafards. Dans cette nouvelle aventure, Jack, le cousin d’Oggy, Olivia, son amoureuse, et le chien bouledogue Bob sont aussi de la partie. Tout ce beau monde vivra de multiples péripéties transposées dans plusieurs époques différentes : la préhistoire, le Moyen Âge et les contes de fées, l’Angleterre victorienne de Sherlock Holmes.

NOTES : Après avoir été en vedette dans une série télé du même titre, Oggy et ses trois vilains cafards passent au grand écran. Les personnages naviguent cette fois-ci à travers l’Histoire en multipliant avec brio les clins d’œil à différents films d’animation, et ce, sans l’aide d’aucun dialogue. Le résultat est coloré et rend inévitablement hommage aux beaux jours des cartoons américains des années 40-50 du type Looney Tunes, au point où la musique et les sons deviennent presque un personnage à part entière. (P.B.)

GÉNÉRIQUE : France · Belgique · Norvège · Pologne. 2014. 47 min (V.F. de Magic Piano). Films d’animation écrits et réalisés par Martin Clapp, Gabriel Jacquel et Anne Kristin Berge.

NOTES : La musique de Chopin et de Beethoven s’anime pour le plaisir des tout-petits dans LE PIANO MAGIQUE, un trio de courts métrages d’animation chacun réalisé par trois créateurs européens. Dans Les Démons de Ludwing, Gabriel Jacquel met en scène Beethoven, lui-même, qui se voit perturber par ses deux compères Recto et Verso à son concert. Anne Kristin Berge nous offre Plink qui raconte l’histoire charmante d’un peintre abstrait qui se fera aider par son enfant à se détendre et à entrer dans l’univers de ses propres tableaux. En finale, Martin Clapp signe une formidable aventure de marionnettes avec LE PIANO MAGIQUE. Anna, une jeune fille qui désire rejoindre son père, trouve un vieux piano qui s’avère aussi être un engin volant. Avec son cousin, elle montera à bord et voyagera aux quatre coins de l’Europe. Les musiciens en particulier ne voudront pas manquer cette trilogie de films animés dans lequel la musique occupe une place centrale. Une belle façon de transmettre votre passion à vos enfants.

GÉNÉRIQUE : Canada. 1994. 97 min (V.O.F.). Film de Rock Demers et Kevin Tierney réalisé par Michael Rubbo. Produit par Les Productions La Fête Inc. Int. : Michael Stevens, Joshawa Mathers et Heather Goodsell.

SYNOPSIS : Tommy farceur et sa bande doivent libérer Charles Merriweather, prisonnier depuis 65 ans sur le fameux timbre du Bluenose. Mais double surprise! ils découvrent que l’énigmatique prisonnier est en fait… une fille. Qui plus est, il s’agit de sa jeune sœur Molly! Malheur! Celle-ci se met tout à coup à vieillir à vue d’œil! Afin de dénicher le remède magique qui permettrait à Molly de rajeunir, Tommy se lance dans la folle course contre la montre. Son escapade l’amène au bout du monde, dans des îles exotiques… et magiques. Cette suite des Aventuriers du timbre perdu est aussi timbrée et imprévisible que l’étaient les aventures du premier volet. Jeunes et moins jeunes, elle vous fera rire et vous captivera!

GÉNÉRIQUE : Québec. 1990. 100 min (V.O.F.). Film de Rock Demers et Claude Nedjar réalisé par Mickael Rubbo. Produit par Les Productions La Fête Inc. Int. : Techky Karyo, Nina Petronzio, Christopher Forrest.

SYNOPSIS : Jo, treize ans, adore le dessin et remporte haut la main une bourse d’études. Elle quitte son village pour la grande ville, où elle est inscrite dans une école des beaux-arts. Elle n’espère rien de moins que d’y apprendre à peindre comme son idole, Vincent Van Gogh. Après qu’un mystérieux Européen lui ait acheté des dessins à fort prix, elle apprend que ses œuvres sont vendues comme étant des dessins de Vincent Van Gogh dans sa jeunesse. Jo n’a pas le choix. La seule chose qu’il lui reste à faire est de partir à la recherche de l’imposteur à Amsterdam. Ou mieux encore, si elle pouvait réussir à tirer l’histoire au clair en parlant au grand maître lui-même, à Arles, au XIXe siècle. Mais comment?